Cachet / identité correspondant au public ciblé (chaleureux /design) : le lieu doit être suffisamment fonctionnel et beau pour donner envie d’y venir travailler.
Différencier des espaces pour l’accueil de publics différents, en pensant au traitement sonore.
Les espaces partagés doivent à la fois permettre une appropriation temporaire et une neutralité > box de rangement privatif pour les abonnés réguliers pour laisser son espace vierge.
Espaces partagés et espaces momentanément privatisables doivent être présents.
Anticiper les contraintes de l’agrément de la commission de sécurité ‘établissement recevant du public’ (ERP).
Il s’agit de projets de territoires qui devraient être portés par les collectivités. Comme c’est le cas dans de nombreux lieux.
Coordination par une structure à l’échelle départementale ou régionale. Réalisation par des acteurs locaux pour chaque territoire.
Une attention particulière doit être portée au dimensionnement des projets dans sa première étape. De nombreuses expériences ont montré un échec de projets trop ambitieux. Il faut du temps pour expérimenter et pour changer les habitudes de travail. L’existence de l’offre, si elle est nécessaire, ne suffit pas à promouvoir un tiers-lieu. Le choix d’un lieu qui peut évoluer est intéressant. La première étape se construit souvent autour de quelques personnes (une dizaine).
Se lancer dans la promotion des tiers-lieux nécessite une coordination. Au niveau local, elle est nécessaire pour communiquer à peu de frais.
Au niveaux local, au travers des moyens existants :
A l’échelle supérieure, départementale, régionale, elle est importante pour rendre lisible / visible la démarche pour les usagers potentiels.
Il est important de réfléchir en tant qu’usager potentiel à une uniformité de communication : où puis-je trouver un tiers-lieu près de chez moi ?
Un référencement sur les outils existants (Néo-nomade,…) serait intéressant. Les premières bases d’un partenariat on été évoquées avec Néo-nomade (Nathanaël Mathieu) qui est partant pour l’initiative.